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Les éditions terres de Feu. cherchent à faire
circuler des textes
de critique sociale, à faire vivre les luttes passées et
présentes
– les possibilités émancipatrices qu’elles recèlent.
L’histoire sociale y occupe une place de choix de même que
les cultures populaires, souvent délaissées par les sciences
sociales critiques.
En dehors de la référence évidente à l’Amérique latine, nos terrains de jeux sont
multiples : l’histoire de lieux emblématiques et atypiques, méconnus ou le plus
souvent
oubliés – proposer de faire un pas de côté.
Matériaux, fragments de moments ou situations. Récits, témoignages,
parcours. Sports, musique… cultures populaires. Catalogue sensible à la mise en
dialogue des échecs, des victoires,
et de celleux qui tentent encore malgré
tout, dans une volonté
de transmission. Relier petite histoire et grande
histoire
comme une nécessité.
Il nous semble essentiel de réhabiliter les utopies qui
s’expérimentent et permettent, comme l’a si joliment dit Eduardo Galeano,
d’avancer. C’est d’autant plus vital dans cette époque obscure,
où les passions
tristes s’expriment si fortement.

Les éditions terres de Feu. cherchent à faire
circuler des textes
de critique sociale, à faire vivre les luttes passées et présentes
– les possibilités émancipatrices qu’elles recèlent.
L’histoire sociale y occupe une place de choix de même que les cultures populaires, souvent délaissées par les sciences
sociales critiques. En dehors de la référence évidente à l’Amérique latine, nos terrains de jeux sont multiples : l’histoire de lieux emblématiques et atypiques, méconnus ou le plus souvent
oubliés – proposer de faire un pas de côté.
Matériaux, fragments de moments ou situations. Récits, témoignages, parcours. Sports, musique… cultures populaires. Catalogue sensible à la mise en dialogue des échecs, des victoires,
et de celleux qui tentent encore malgré tout, dans une volonté
de transmission. Relier petite histoire et grande histoire
comme une nécessité.
Il nous semble essentiel de réhabiliter les utopies qui s’expérimentent et permettent, comme l’a si joliment dit Eduardo Galeano, d’avancer. C’est d’autant plus vital dans cette époque obscure,
où les passions tristes s’expriment si fortement.
de critique sociale, à faire vivre les luttes passées et présentes
– les possibilités émancipatrices qu’elles recèlent.
L’histoire sociale y occupe une place de choix de même que les cultures populaires, souvent délaissées par les sciences
sociales critiques. En dehors de la référence évidente à l’Amérique latine, nos terrains de jeux sont multiples : l’histoire de lieux emblématiques et atypiques, méconnus ou le plus souvent
oubliés – proposer de faire un pas de côté.
Matériaux, fragments de moments ou situations. Récits, témoignages, parcours. Sports, musique… cultures populaires. Catalogue sensible à la mise en dialogue des échecs, des victoires,
et de celleux qui tentent encore malgré tout, dans une volonté
de transmission. Relier petite histoire et grande histoire
comme une nécessité.
Il nous semble essentiel de réhabiliter les utopies qui s’expérimentent et permettent, comme l’a si joliment dit Eduardo Galeano, d’avancer. C’est d’autant plus vital dans cette époque obscure,
où les passions tristes s’expriment si fortement.